
Je me souviens de textes de chanson griffonnés dans mes cahiers de classe, aussi loin qu’en quatrième année. Cette pratique dura tout au long du primaire, au point où une de mes institutrices un jour a cru bon de corriger la grammaire et la syntaxe des textes de Chuck Berry et de Johnny Horton qu’elle trouvait à côté de mes travaux scolaires. C’est la première étincelle musicale dont j’ai souvenir. Ça et Claude Décoeur, un copain de classe, qui était venu avec une vieille guitare chanter le Rapide blanc, d’Oscar Thiffeault. A wigne hein hein…